Les rêveries d’un promeneur solitaire, dans les rues de Lisbonne ( tome I )
Je dis : » Lisbonne »
Quand j’arrive du sud et traverse le fleuve.
Et la ville s’ouvre comme si elle naissait à son propre nom,
Elle s’ouvre et se dresse dans son étendue nocturne,
Dans son long scintillement d’azur et de fleuve,
Dans son corps amoncelé de collines.
Lisbonne avec son nom d’être et de non-être,
Avec ses méandres de merveille insomnie et ferraille,
Et son éclat secret de choses théâtrale.
Son sourire complice de masque et d’intrigue.
Tandis qu’à l’occident la vaste mer s’élargit
Lisbonne oscillante comme une grande barque
lisbonne cruellement bâtie autour de sa propre absence.
Sophia de Mello Breyner
A suivre…
J’adore….. sauf les tatouages de la madame 😉 bisous Bruno à bientôt pour la suite………
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Tatouage…Maria Jao Pires, dont la délicatesse me transporte, porte tatouée sur le poignet droit la silhouette d’un petit dauphin…Bisou 😉
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je parle de la grande rose et e la boussole…. pas assez discrètes.. j’envisage une salamandre sur le bras 😉 bisous
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J’avais bien compris et j’ai juste voulu souligner que je trouvais un peu étonnant qu’une concertiste classique puisse ainsi exhiber un tatouage… Pour ma part, j’ai mon lot de scarifications, cela est assez. 😉
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