Une simple fente ourlée de rose, joliment dessinée
Qui s’élargie et s’ouvre au gré des mots et des sourires,
Deux lèvres pulpeuses qui s’entrouvrent pour un baiser
Viennent délicatement se fondre aux siennes dans un soupir.
Un baiser plein de fougue, un baiser au goût de muscade
Dans un ballet humide où se mêle un peu d’eux pour commencer…
C’est une danse, c’est une transe, un rythme qui bat la chamade.
C’est un baiser, de début de jour, de début de nuit, comme vous voulez
C’est la première phrase d’un silence de connivence attendu,
C’est la naissance d’une lame de fond dans les corps tendus,
Et pendant que chavirent de leurs esquifs les mots prisonniers
Les vagues déchaînées comme des fantasmes libérés
S’abattent de tous côtés, violentes et mugissantes.
La tempête dura une nuit, ou un jour, mais elle leur parut fugace.
Deux lèvres pulpeuses s’étaient entrouvertes pour un baiser…
Je viens de lire un billet sur la manière d’exprimer qu’on a rien à dire, billet largement commenté d’ailleurs, ce qui me permet de dire que… je reste sans voix !
CRESCENDO
Une simple fente ourlée de rose, joliment dessinée
Qui s’élargie et s’ouvre au gré des mots et des sourires,
Deux lèvres pulpeuses qui s’entrouvrent pour un baiser
Viennent délicatement se fondre aux siennes dans un soupir.
Un baiser plein de fougue, un baiser au goût de muscade
Dans un ballet humide où se mêle un peu d’eux pour commencer…
C’est une danse, c’est une transe, un rythme qui bat la chamade.
C’est un baiser, de début de jour, de début de nuit, comme vous voulez
C’est la première phrase d’un silence de connivence attendu,
C’est la naissance d’une lame de fond dans les corps tendus,
Et pendant que chavirent de leurs esquifs les mots prisonniers
Les vagues déchaînées comme des fantasmes libérés
S’abattent de tous côtés, violentes et mugissantes.
La tempête dura une nuit, ou un jour, mais elle leur parut fugace.
Deux lèvres pulpeuses s’étaient entrouvertes pour un baiser…
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Je viens de lire un billet sur la manière d’exprimer qu’on a rien à dire, billet largement commenté d’ailleurs, ce qui me permet de dire que… je reste sans voix !
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