La réception bat son plein, tout le monde rit.
Je t’ai vu t’éloigner, en direction de la maison,
Abandonnant sur la pelouse famille et amis,
Et aussi ton fiancé qui a bu plus que de raison.
Je me faufile, à ta suite, dans le long couloir
Qui mène aux chambres et à la salle de bain.
C’est là que tu fais mine de m’apercevoir,
Au moment précis où je te prends la main.
Je te pousse, tu m’entraines, personne ne sait,
Nous entrons ensemble dans la pièce carrelée.
Dans mon dos, je tourne le verrou pour nous enfermer ;
Par le plafond vitré entre le soleil d’été.
Appuyée, des deux mains, sur le lavabo encastré,
Tu me présentes ton dos et tes superbes fesses,
J’approche et pose mes mains sur tes reins cambrés,
En une étreinte mélangeant fougue et tendresse.
Je relève ta robe sur tes jambes tendues,
Nous n’avons pas encore échangé un mot,
Mon sexe est dur, contre ta peau nue,
Je regarde avec envie le bas de ton dos.
Tout s’accélère quand tu baisses la tête,
Semblant te soumettre à mon bon plaisir.
Je déboutonne en hâte ma chemisette,
J’ouvre mon pantalon, et je te sens frémir.
J’écarte ton string et je me glisse
Entre tes jambes, jusqu’à tes lèvres,
Tu te cambres et tu écartes les cuisses,
Ton petit cul dressé me donne la fièvre.
Je te pénètre sans lutte,
Glissade vers ton désir,
Je te soulève et te chahute,
Tant que je t’entends gémir.
Avec l’habitude de tels ébats,
Très vite monte ton plaisir,
Tu t’allonges et te débats,
Indiquant que tu vas jouir.
Je prends ta taille fermement,
Pour que tu ne puisses fuir,
Et j’accélère mes mouvements,
Accélérant aussi tes soupirs.
Ton bassin ondule sous mes doigts,
Cambré au maximum pour m’accueillir.
Je me laisse tomber sur toi,
Avec une seule envie, te conquérir.
Encore quelques coups de reins,
Et c’est le moment de défaillir,
Je t’offre en saccades sans fin,
Ma liqueur que je sens jaillir.
Tu miaules et tu crispes les poings ;
Vidé, je sens mes jambes fléchir.
Les bruits de la fête nous parviennent de loin,
Il va être temps de retourner leur sourire.
Repus l’un de l’autre, comme chaque fois,
Nous avons, de nouveau, scellé une alliance.
Rien ne pourra jamais m’éloigner de toi,
En un sourire, tu me redonnes confiance.
Tu te retournes et tu me fais face, radieuse,
Je baise tes lèvres avec une infinie tendresse,
Puis, en une parodie à dessein gracieuse,
Je m’agenouille et dis « Merci, ma Princesse ».
Merci Frédéric,gräce à toi,la participation masculine s’accroît et je pense même que nous sommes au complet.
Je n’ai pas encore lu le premier texte déposé,mais je m’y rends de ce doigt,l’eau à la bouche.
La fiancée libertine.
La réception bat son plein, tout le monde rit.
Je t’ai vu t’éloigner, en direction de la maison,
Abandonnant sur la pelouse famille et amis,
Et aussi ton fiancé qui a bu plus que de raison.
Je me faufile, à ta suite, dans le long couloir
Qui mène aux chambres et à la salle de bain.
C’est là que tu fais mine de m’apercevoir,
Au moment précis où je te prends la main.
Je te pousse, tu m’entraines, personne ne sait,
Nous entrons ensemble dans la pièce carrelée.
Dans mon dos, je tourne le verrou pour nous enfermer ;
Par le plafond vitré entre le soleil d’été.
Appuyée, des deux mains, sur le lavabo encastré,
Tu me présentes ton dos et tes superbes fesses,
J’approche et pose mes mains sur tes reins cambrés,
En une étreinte mélangeant fougue et tendresse.
Je relève ta robe sur tes jambes tendues,
Nous n’avons pas encore échangé un mot,
Mon sexe est dur, contre ta peau nue,
Je regarde avec envie le bas de ton dos.
Tout s’accélère quand tu baisses la tête,
Semblant te soumettre à mon bon plaisir.
Je déboutonne en hâte ma chemisette,
J’ouvre mon pantalon, et je te sens frémir.
J’écarte ton string et je me glisse
Entre tes jambes, jusqu’à tes lèvres,
Tu te cambres et tu écartes les cuisses,
Ton petit cul dressé me donne la fièvre.
Je te pénètre sans lutte,
Glissade vers ton désir,
Je te soulève et te chahute,
Tant que je t’entends gémir.
Avec l’habitude de tels ébats,
Très vite monte ton plaisir,
Tu t’allonges et te débats,
Indiquant que tu vas jouir.
Je prends ta taille fermement,
Pour que tu ne puisses fuir,
Et j’accélère mes mouvements,
Accélérant aussi tes soupirs.
Ton bassin ondule sous mes doigts,
Cambré au maximum pour m’accueillir.
Je me laisse tomber sur toi,
Avec une seule envie, te conquérir.
Encore quelques coups de reins,
Et c’est le moment de défaillir,
Je t’offre en saccades sans fin,
Ma liqueur que je sens jaillir.
Tu miaules et tu crispes les poings ;
Vidé, je sens mes jambes fléchir.
Les bruits de la fête nous parviennent de loin,
Il va être temps de retourner leur sourire.
Repus l’un de l’autre, comme chaque fois,
Nous avons, de nouveau, scellé une alliance.
Rien ne pourra jamais m’éloigner de toi,
En un sourire, tu me redonnes confiance.
Tu te retournes et tu me fais face, radieuse,
Je baise tes lèvres avec une infinie tendresse,
Puis, en une parodie à dessein gracieuse,
Je m’agenouille et dis « Merci, ma Princesse ».
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Merci Frédéric,gräce à toi,la participation masculine s’accroît et je pense même que nous sommes au complet.
Je n’ai pas encore lu le premier texte déposé,mais je m’y rends de ce doigt,l’eau à la bouche.
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;-). comme dans un rêve…
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