Des photos plein le coeur ( IV )
C’est déjà le quatrième opus de mes clichés préférés.
je tente maladroitement, certainement, de vous dire pourquoi je tiens à eux en particulier.
Car il est difficile parfois d’expliquer un ressenti, une émotion, fugitive certes, au moment de la prise de vue, mais qui pourtant reste inscrite dans ma mémoire.

Trois sages devisent paisiblement sur la marche du monde, dans l’eau tiède, doucement caressés par les vagues, ici le bonheur est si simple.

2017 calanque d’Envau ( France )
Dans cet environnement beau à pleurer, je m’imagine une histoire d’amour naissante entre ces jeunes gens venus s’isoler sur ce promontoire quasi inaccessible.

2016 Cadaqués ( Espagne )
Cette photo est un trompe-l’oeil, la petite fille paraissant plus grande que le génial Salvador Dali.
Et puis la blanche Espagne et son cortège de souvenirs si riches, depuis tant d’années.

L’ombrière ( quel joli mot! ) et ses miroirs sur le vieux port de Marseille permet de réaliser ce type de cliché.
Elle offre aussi au touriste harassé, un répit dans la fournaise de l’été marseillais, une halte de fraîcheur et de détente, dans un lieu particulièrement exposé au soleil.

Fais Attention minot! Le ciel pourrait bien te tomber sur la tête.
Mais tu es vif et agile comme un cabri et tu crains dégun.

Plusieurs millions de deux roues circulent inlassablement dans la ville la plus peuplée du pays.
Mais cela se fait dans la plus grande discipline. Et traverser ce flot aux feux tricolores quand c’est autorisé n’est absolument pas un problème. Impressionnant!

Ce jeune pragois descend de son vélo un court instant pour venir dessiner à la craie sur un tableau noir mis à la disposition du public, c’est comme une sorte d’exutoire.
Il symbolise avec son sourire rayonnant la Liberté retrouvée qui règne enfin dans ce pays à l’histoire tellement tourmentée.

Bien sûr il y a Shangaï, ses gratte-ciel et ses boutiques outrageusement luxueuses.
Mais la Chine c’est aussi dans les campagnes beaucoup de pauvreté, et des gens qui se débrouillent comme ils peuvent.

Le mélange de la quiétude lumineuse qui se dégage de la peinture du cabanon sur l’affiche, et le mouvement des personnages, décoiffés par le Mistral.

Dans le hall de la gare d’Atocha ce voyageur attend son train.
On pourrait croire que l’ensemble de bagages en bronze auquel il est adossé lui appartient et qu’il se prépare à un long, très long voyage.
A suivre si vous le voulez bien.
Le plaisir de te lire continue et tes commentaires nous aident à capter l’émotion du moment ! Pour ce qui est de l’ombrière, te souviens-tu à quel point elle fut décriée à sa création ? Ainsi va la vie à Marseille……….. peut-être plus qu’ailleurs !
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Norman Foster a offert au vieux port un attrait supplémentaire aujourd’hui indiscutable. Bonne fête Hélène! Bisou
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Sympas ces clichés. Bon oeil!
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