Par les temps qui courent
Le temps a ses couloirs.
Les emprunter, fait voyager dans l’Histoire.
Et de migration, en digression, il n’est pas rare.
De revenir à son point de départ.
Voilà que ce bas-relief Romain,
me redonne, soudain,
le gôut du dessin.
Une première étude à l’encre, disons…restaurée. 🙂
Avec l’épure, sur grand format, je peux maintenant interpréter.
Puis, vient le modelage au fusain et à l’estompe.
Et enfin, avec mes chers ocres de Roussillon,
je crée un fond vibrant,
pour accentuer le mouvement.
Faune et Ménade
Techniques mixtes sur papier
( 50 x 65 cm )
C’est avec appétit que je suis revenu vers d’anciennes amours.
Décidément, la peinture pour moi est affaire de désir.
Pourvu que ça dure, c’est plutôt rare…par les temps qui courent.
Bonne semaine!
je préfère le relief de ton dessin que le bas-relief original 😉
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Tu me fais envie… J’ai abandonné mes peintures et mon papier depuis des semaines…
Moi aussi je préfère ton interprétation 😉
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Ah revoilà tes personnages !!!
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Qu’est-ce qui est rare, les ocres de Roussillon ou le désir ? 🙂
bon, je te chahute…..j’aime ton dessin, ton trait si sûr….il traduit avec brio dans notre esthétique d’aujourd’ui une idée d’hier
Biz
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J’ai encore une bonne provision d’ocres… 🙂 Bise
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