J’avais à ma disposition 3 pigments différents:
Le lapis -Lazuli, le bleu dit de « Majorelle » et un troisième non identifié qui se présente sous la forme d’une poudre rougeâtre qui bleuit violemment lorsqu’on y ajoute un solvant, de l’eau ou autre, c’est celui que je préfère, car le résultat est imprévisible au séchage. 🙂 Peut-être le cobalt alors? J’ai malheureusement peu d’expérience en pigments naturels. les couleurs que j’utilise en général sont fabriquées industriellement.
Majorelle, le peintre vivait à Marrakech ds la villa qui porte toujours son nom mais appartient à Bergé. Mais il est fort probable que ce soit le bleu de Fès qu’il utilisait comme pigment à l’époque ! et de la à l’appeler « Majorelle »…
Mais ce n’est qu’une hypothèse !
J’ai eu la chance de visiter cette villa et ses magnifiques jardins, il y a quelques années, avec Aurélia, alors enfant.
Ton hypothèse est sûrement la bonne, merci du renseignement, mais cela ne résout pas le mystère de mon rouge qui devient bleu. Je crois qu’Aurélia a parlé de coquillage?…Il faudra que je le lui demande..
Je ne sais pas pour le rouge qui devient bleu (violacé ?)… mais je me souviens que je décorais mes lèvres à la cochenille que je trouvais ds les souks. C’est le carmin.
Oui, je connais ces petites coupelles en terre cuite enduites de carmin. Aurélia, toujours elle, en avait ramené, autrefois. 🙂 J’ai peint ce geste aussi, la peinture est sûrement sur ce blog, mais où?
Je l’ai retrouvé. Il faut taper « album » dans le moteur de recherche en bas de la page du blog et le tableau apparait dans un article publié en août 2013. j’ai depuis offert la toile à ma belle-soeur qui l’avait trouvée joile. J’avais mis plusieurs mois à finir ce portrait.
bah…. un petit accord avec ma conscience pour me dire que c’est pas ma faute si je suis toujours en robe de chambre à buller devant l’ordi au lieu e faire des tonnes de trucs utiles !! 😀
Allez, je déconnecte et je vais m’habiller …. bisous !
Merci à toi, chère Marla, de les avoir remarquées. A lire ce qui précède on en oublie qu’elles constituent le »fond » de ce billet et que leur mise en scène, en dehors du temps nécessité pour leur réalisation, a été l’objet d’une petite expédition matinale. Je suis encore passé pour les 2 promeneuses croisées alors, pour un « original »…. 🙂
Tu as utilisé les pigments d’Aurélia ???
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Tout juste! Un peu compliqués à mettre en oeuvre, ces pigments marocains, mais quel régal cette profondeur du bleu.
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Je pense que c’est le bleu de Fès, autrement dit du bleu de cobalt. Ma mère possède quelques poteries très ancienes dessinées et peintes avec ce bleu.
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J’avais à ma disposition 3 pigments différents:
Le lapis -Lazuli, le bleu dit de « Majorelle » et un troisième non identifié qui se présente sous la forme d’une poudre rougeâtre qui bleuit violemment lorsqu’on y ajoute un solvant, de l’eau ou autre, c’est celui que je préfère, car le résultat est imprévisible au séchage. 🙂 Peut-être le cobalt alors? J’ai malheureusement peu d’expérience en pigments naturels. les couleurs que j’utilise en général sont fabriquées industriellement.
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Majorelle, le peintre vivait à Marrakech ds la villa qui porte toujours son nom mais appartient à Bergé. Mais il est fort probable que ce soit le bleu de Fès qu’il utilisait comme pigment à l’époque ! et de la à l’appeler « Majorelle »…
Mais ce n’est qu’une hypothèse !
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J’ai eu la chance de visiter cette villa et ses magnifiques jardins, il y a quelques années, avec Aurélia, alors enfant.
Ton hypothèse est sûrement la bonne, merci du renseignement, mais cela ne résout pas le mystère de mon rouge qui devient bleu. Je crois qu’Aurélia a parlé de coquillage?…Il faudra que je le lui demande..
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Je ne sais pas pour le rouge qui devient bleu (violacé ?)… mais je me souviens que je décorais mes lèvres à la cochenille que je trouvais ds les souks. C’est le carmin.
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Oui, je connais ces petites coupelles en terre cuite enduites de carmin. Aurélia, toujours elle, en avait ramené, autrefois. 🙂 J’ai peint ce geste aussi, la peinture est sûrement sur ce blog, mais où?
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Je me souviens de ce portrait aux lèvres carmins ? carmines ? Je l’avais trouvé très beau….
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C’était le portrait d’une africaine ??? Sinon je ne m’en souviens pas de celui-là…
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Je l’ai retrouvé. Il faut taper « album » dans le moteur de recherche en bas de la page du blog et le tableau apparait dans un article publié en août 2013. j’ai depuis offert la toile à ma belle-soeur qui l’avait trouvée joile. J’avais mis plusieurs mois à finir ce portrait.
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J’ai trouvé aussi ! Toujours aussi magnifique ! Du coup, j’ai du faire exploser les stats de ton blog, je me suis baladée un moment à sa recherche 🙂
https://navarrob.files.wordpress.com/2013/08/p1010534.jpg?w=764&h=&crop=1
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Merci pour ta ténacité. 🙂
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La chasse au trésor en qq sorte, sauf que le trésor est déjà offert !!! ;-))
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bah…. un petit accord avec ma conscience pour me dire que c’est pas ma faute si je suis toujours en robe de chambre à buller devant l’ordi au lieu e faire des tonnes de trucs utiles !! 😀
Allez, je déconnecte et je vais m’habiller …. bisous !
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Ben moi j’ai rendez-vous avec Picasso sur Arte, salut les filles!
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Salut hombre !
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Merci pour le raccourci !
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Et merci Bruno pour ces toiles dans lesquelles je peux plonger 🙂
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Merci à toi, chère Marla, de les avoir remarquées. A lire ce qui précède on en oublie qu’elles constituent le »fond » de ce billet et que leur mise en scène, en dehors du temps nécessité pour leur réalisation, a été l’objet d’une petite expédition matinale. Je suis encore passé pour les 2 promeneuses croisées alors, pour un « original »…. 🙂
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