Black pearls
Bientôt un millier d’articles publiés sur ce blog. Et je peine à me renouveler.
J’ai décidé, peut être pour un temps seulement, d’être un peu plus sobre.
Il y a les petits trésors, et finalement eux seuls comptent. Here is one of my black pearls.
Je ne cherche plus à séduire ou à captiver, si l’on en veut plus, il y a un petit moteur de recherche, dans la colonne de droite, et l’on peut taper, amour, peinture, Bangkok ou New York, on trouvera une réponse.
L’émotion se dilue, si on l’étale.
Ce cliché, c’est le cap Canaille au coucher du soleil, c’est tout, et c’est immense.
Aimez moi, comme je vous aime, tout simplement.
C’est souvent beau la sobriété. Cela permet l’attente…. C’est bon d’attendre. (bon pas trop longtemps non plus faudrait pas déconner 🙂 )
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Il n’y a pas de mot. Juste une flopée d’onomatopées. Arf ! Arrrrrgh ! Piou !
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Comme je te comprends !
Mais il n’est pas facile de ne plus venir ouvrir ce volet quand on a pris l’habitude de regarder ce qu’il se passe et se dit « ailleurs », et que l’on y répond comme l’écho. Ca me fait penser aux gens du sud qui se parlent de fenêtre en fenêtre, et un jour les volets commencent à se fermer les uns derrière les autres. La rue est si calme qu’elle parait vide. En ce moment elle est vide, bien que quelques uns continuent de se parler, mais à côté du raffut auquel nous étions habitués il y a quelques années ou même encore quelques mois, l’ambiance parait être atteinte d’abandonnite aigüe… Je n’ose même pas compléter la liste des « déserteurs » depuis Philippe, Pascal, Loofy, Mimi, VS, Mie etc.
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Ils me manque ces absents là…
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manquent… rhooo
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quelle sérénité dans cette photo ! l’apaisement des âmes peut-être
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