Noirmoutier
Je ne suis jamais allé à Noirmoutier… pour de vrai.
Cependant, j’ai ce tableau, un Renoir, une copie bien sûr, réalisée dans ma jeunesse.
Ainsi, ce petit coin de l’île, m’est devenu très familier.
J’irai peut-être un jour…à la rencontre de cette mystérieuse dame en blanc qui lit au bord de l’océan.
Mais je suis bien certain, que je n’oserais jamais troubler sa lecture. 🙂
Viens-y à Noirmoutier! C’est pas loin de chez moi. Et rien, je dis bien RIEN, ne vaut la lumière de l’Atlantique. Je sais, c’est très subjectif. Et j’assume!
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Renoir en était tombé amoureux, mais il a finalement préféré la lumière de la Méditerranée pour ses vieux os perclus de rhumatismes.. 🙂
Je suis venu chez toi, il y a quelques années, j’ai passé 2 semaines du côté de la conche des baleines, je n’ai pas raté un seul coucher de soleil.
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Joli ton Renoir ! Je ne connais pas Noirmoutier non plus… mais je connais la belle lumière du sud aussi !
Good night je suis morte !
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J’ai peut-être, demain ma nouvelle trottinette…YEAAAh!!!
Finalement je m’envole pour Madrid à la fin du mois…
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Super ! Moi je n’ai encore rien décidé, Porto pas trop loin, me tenterait… on verra selon l’humeur vers la fin octobre. On nous annonce la neige à 800 m. 😥 je prendrai la météo avant de me décider, je crains qu’il faille aller loin…
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L’Espagne me manque, tant de choses me manquent , et pourtant je suis si comblé.
Je m’accommode de ce paradoxe.
Enfin je crois. 🙂
J’espère que tes efforts portent leurs fruits. Continue.
Je suis de tout corps avec toi. Euh de tout cœur…
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C’est dur, j’y vais chaque jour, pas encore de grands résultats mais ça va viendre, paraît que je dois être patiente, ce qui n’est pas la meilleure de mes qualités mais j’obéis sagement… c’est ça le plus dur !!! 😆
Allez, hop je file au dodo !
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Bonne nuit!
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L’Andalousie me tenterait aussi tiens !
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Je revenais d’Andalousie, quand je m’arrêtai à Madrid pour la première fois, et la seule jusqu’ici.
Je me précipitai au Prado, et j’y restai, de l’ouverture à la fermeture.
J’y espérais Velasquez, j’y ai aussi rencontré Goya et » Las Pinturas Negras « . Quel choc!
Quand je fus enfin hors d’atteinte de toute émotion picturale, je m’allongeai sur la pelouse devant le musée, les reins en capilotade. Et je sombrai immédiatement dans un profond sommeil, peuplé de sorcières infanticides et cannibales…
je ne retournerai pas au Prado, mais je veux voir Guernica au musée de la reine Sophie…et l’Escorial.
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J’aime bien l’expression « pour de vrai ». C’est émouvant.
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Une bouffée d’enfance… et d’imagination.
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