Le bracelet de métal se referme avec un claquement sec sur le poignet gracile. Enfin !
Je me recule un peu et je fais une pause, profitant du spectacle d’Odile liée sur la table de bois par les quatre membres. Les chaines miroitent doucement à la lueur des bougies que j’ai allumé tout autour de la pièce sombre, repoussant les murs et créant une bulle d’intimité un peu angoissante. Je n’ai pas eu à beaucoup lutter pour en arriver là. Il m’a suffi de paroles douces pour la faire fléchir et qu’elle accepte de jouer avec moi. Jouer, voilà bien le mot. Allons, ma belle Odile, jouons puisque tu l’as bien voulu.
Elle porte une jupe courte qui est un peu remontée sur ses cuisses, un débardeur blanc tout simple. Elle a ôté ses sandales avant de s’installer; ses ongles de pieds sont vernis de rose pâle, tout comme ceux de ses mains. Passant près d’elle, je caresse distraitement le bout de ses orteils. J’adore sa cambrure. J’adore ses longues jambes musclées et son ventre plat. J’adore ses petits seins ronds moulés par le fin coton qui ne peut cacher la raideur des mamelons provoquée par le froid, ou plus sûrement par un certain émoi.
Odile, je veux voir le plaisir sur ton visage. Le plaisir de l’inattendu, de la surprise. Je veux voir ton corps se cambrer pour m’échapper, se débattre et finalement se rendre à moi. Ma main glisse du dessus de ton pied vers le genou, lentement, tandis que je regarde juste ta jambe. Du genou, je remonte sur la cuisse, douce. Mes doigts s’immiscent sous la jupe et tu frémis. Je monte doucement et j’atteins l’aine, mon doigt en suit le pli en descendant le long de la culotte. C’est trop pour toi, tu redresses la tête pour regarder ma main, prête à protester. Un seul regard que je te lance te clos la bouche. Je déboutonne la jupe sur ta hanche et je descends la fermeture éclair avant de tirer le carré de tissu sous tes fesses que tu soulèves.
Me voici à regarder ton sexe moulé par la culotte; les deux lèvres gonflées et la fente. Je ne peux m’empêcher d’y passer le doigt tandis que tu te tortilles pour y échapper. J’insiste un peu, enfonçant le tissu entre les lèvres avec un regard appréciateur. Lorsque je te regarde à nouveau, tes joues et ton front sont rouges et tu te mords les lèvres.
Je vais prendre une grosse bougie de couleur rouge sur le rebord du mur et je m’approche à nouveau. Des ombres dansent sur ta peau dorée. Je place la bougie au dessus de ta cuisse et je la penche lentement. Une goutte de cire chaude glisse au delà du bord et tombe sur ta peau, t’arrachant un petit cri. Je déplace la bougie, laissant un pointillé de confettis le long de ta cuisse. Tu sursautes à chaque goutte sans plus ouvrir la bouche et tu te crispes dans l’attente de la suivante.
Je pose la bougie près de ton épaule. Le monde s’est arrêté de tourner pour nous deux, le temps est suspendu à mes gestes mesurés. D’un coup sec du poignet, j’ouvre mon couteau hors de ta vue. Tu sais reconnaitre le bruit et je l’ai exagéré à dessein. Je remonte ma main vers mon visage, évaluant le fil de la lame du pouce sans te regarder directement. Tes yeux sont braqués sur le métal poli, ta bouche pincée laisse passer une inspiration sifflante.
« – C’était pas prévu, ça ! » me dis-tu, rompant le silence qui régnait depuis le début de la… cérémonie.
Je pose la lame sur le renflement de ton ventre au dessus de la ceinture de ton slip. Le froid du métal, l’éventualité de la coupure, font que tu essayes de rentrer ton ventre, mais sans succès. La lame remonte, glisse sous la couture de ton débardeur; le tissu se fend sans bruit, témoignant de l’affutage soigné. Je m’efforce de rester impassible tandis que j’ouvre le vêtement de bas en haut. La pointe du couteau est maintenant sous ton menton et tu es obligée de cambrer le dos pour l’éviter. Le tissu glisse de ta poitrine offerte, me dévoilant deux aréoles sombres aux pointes joliment dressées.
Je pose le couteau sur ton ventre et je reprends la bougie; la cire a fondu et ne demande qu’à couler. Tu me regardes avec les yeux écarquillés de crainte mais toujours sans oser parler. Tu fermes les yeux tandis que les gouttes de cire tombent sur ton sein droit. Tu suffoques et tu gémis. Je dessine une spirale qui se referme sur ton mamelon. Ton cri est plus fort et il se prolonge avec le filet de cire qui enrobe la chair sensible. Tu laisses échapper un gémissement rauque et des larmes perlent à tes yeux clos.
J’hésite un instant, un bref instant, et je déplace la bougie vers ton autre sein, directement sur la zone la plus sensible. Ton corps s’arque-boute dans ses liens pour mon plus grand plaisir; j’ai envie de toi, tu es si belle ainsi soumise. Des larmes coulent de tes yeux qui me regardent reposer la bougie. Du bout des doigts, je roule la pointe de ton sein droit pour en détacher la cire durcie. Mon geste est rude et tu grimaces. Je me penche sur toi et j’approche mes lèvres, soufflant doucement. Mon visage remonte vers le tien, ma bouche se pose sur la tienne, tu te soulèves pour répondre à mon baiser, tu me veux, à pleine bouche. Je pince ton mamelon plus fort, ta langue fouille ma bouche, désespérée.
Je me recule un peu et reprends mon couteau en main, glisse la lame sous la ceinture de ta culotte, sur ta hanche. Il me suffit de tirer un peu pour que la lame tranche l’élastique. L’autre coté cède aussi et je tire sur la culotte découpée, dénudant ton pubis épilé. Imperceptiblement, tandis que je le regarde, tes cuisses s’entrouvrent. Un filet de cyprine s’écoule d’entre tes lèvres. Je referme le couteau en le laissant claquer, signifiant que tu es sauve.
Reprenant la bougie, je te la tends, disant: « Souffle ! ». Tu souffles, éteignant la flamme. Je penche la bougie et je descends le long de ton ventre, laissant une trainée de cire liquide. L’extrémité a refroidi lorsque je la passe sur ton pubis, descendant toujours vers tes lèvres qui ont écloses. Tu redresses à nouveau le buste pour regarder la bougie contre ton sexe mouillé. Les mâchoires crispées, les yeux écarquillés, tu m’attends, tu m’appelles. Tu cherches à enfoncer la bougie par des mouvements du bassin, mais je ne fais que la tenir contre toi, caressant tes lèvres sur toute leur longueur.
« Vas-y ! » Tu grognes, gémis, palpites. Quand tu sens que le moment est venu, instinctivement, tu t’ouvres et cambres les reins. J’enfonce la bougie de quelques centimètres, sans effort. Après un moment d’immobilité où je regarde les spasmes de ton bassin, je commence un lent mouvement de va-et-vient, enfonçant chaque fois un peu plus la bougie. Ta respiration s’accélère, ta tête tourne d’un coté et de l’autre tandis que, les yeux clos, tu sens le plaisir monter. Sans hâte, ma main se fait houle, faisant naitre la vague, jusqu’au moment où ton dos fléchit, tu cherches à respirer, et je cesse de bouger. Tu gémis plaintivement, frustrée, à deux doigts de l’orgasme que je t’ai refusé. Encore haletante, tu me regardes, les yeux mouillés:
« Laisse moi jouir ! » Tu observes une pause, où tu te mords les lèvres, puis tu reprends, soumise: « S’il te plait ! »
En longues pénétrations je reprends mes va-et-vient et tu refermes les yeux. En quelques secondes tu as retrouvé le haut de la vague qui déferle en toi. Ton corps entier ondule au rythme de ton plaisir. De ta bouche, grande ouverte pour chercher de l’air, sort une succession de cris rauques. Tes muscles se crispent autour de la bougie que je continue à bouger en toi. Les spasmes se font plus fort, tu refermes tes jambes, les rouvres, ne sachant plus comment accéder à la jouissance. Un liquide transparent jaillit de ton vagin, inondant ma main et tu cries de plus belle.
Lâchant la bougie, je détache tes bracelets de tes chevilles, de tes poignets. Je te prends dans mes bras où tu te loves, presque inerte. Tu lèves ton visage vers moi et je te donne ma bouche. Ce baiser, d’une tendresse exceptionnelle, scelle ta soumission et absout mes tourments.
J’ai fait au plus vite… j’espère avoir plus de temps la prochaine fois. Je vais me hâter de recommander cet endroit ceux qui me lisent ! Ensuite, seulement après, je prendrai mon plaisir.
Le bracelet de métal se referme avec un claquement sec sur le poignet gracile. Enfin !
Je me recule un peu et je fais une pause, profitant du spectacle d’Odile liée sur la table de bois par les quatre membres. Les chaines miroitent doucement à la lueur des bougies que j’ai allumé tout autour de la pièce sombre, repoussant les murs et créant une bulle d’intimité un peu angoissante. Je n’ai pas eu à beaucoup lutter pour en arriver là. Il m’a suffi de paroles douces pour la faire fléchir et qu’elle accepte de jouer avec moi. Jouer, voilà bien le mot. Allons, ma belle Odile, jouons puisque tu l’as bien voulu.
Elle porte une jupe courte qui est un peu remontée sur ses cuisses, un débardeur blanc tout simple. Elle a ôté ses sandales avant de s’installer; ses ongles de pieds sont vernis de rose pâle, tout comme ceux de ses mains. Passant près d’elle, je caresse distraitement le bout de ses orteils. J’adore sa cambrure. J’adore ses longues jambes musclées et son ventre plat. J’adore ses petits seins ronds moulés par le fin coton qui ne peut cacher la raideur des mamelons provoquée par le froid, ou plus sûrement par un certain émoi.
Odile, je veux voir le plaisir sur ton visage. Le plaisir de l’inattendu, de la surprise. Je veux voir ton corps se cambrer pour m’échapper, se débattre et finalement se rendre à moi. Ma main glisse du dessus de ton pied vers le genou, lentement, tandis que je regarde juste ta jambe. Du genou, je remonte sur la cuisse, douce. Mes doigts s’immiscent sous la jupe et tu frémis. Je monte doucement et j’atteins l’aine, mon doigt en suit le pli en descendant le long de la culotte. C’est trop pour toi, tu redresses la tête pour regarder ma main, prête à protester. Un seul regard que je te lance te clos la bouche. Je déboutonne la jupe sur ta hanche et je descends la fermeture éclair avant de tirer le carré de tissu sous tes fesses que tu soulèves.
Me voici à regarder ton sexe moulé par la culotte; les deux lèvres gonflées et la fente. Je ne peux m’empêcher d’y passer le doigt tandis que tu te tortilles pour y échapper. J’insiste un peu, enfonçant le tissu entre les lèvres avec un regard appréciateur. Lorsque je te regarde à nouveau, tes joues et ton front sont rouges et tu te mords les lèvres.
Je vais prendre une grosse bougie de couleur rouge sur le rebord du mur et je m’approche à nouveau. Des ombres dansent sur ta peau dorée. Je place la bougie au dessus de ta cuisse et je la penche lentement. Une goutte de cire chaude glisse au delà du bord et tombe sur ta peau, t’arrachant un petit cri. Je déplace la bougie, laissant un pointillé de confettis le long de ta cuisse. Tu sursautes à chaque goutte sans plus ouvrir la bouche et tu te crispes dans l’attente de la suivante.
Je pose la bougie près de ton épaule. Le monde s’est arrêté de tourner pour nous deux, le temps est suspendu à mes gestes mesurés. D’un coup sec du poignet, j’ouvre mon couteau hors de ta vue. Tu sais reconnaitre le bruit et je l’ai exagéré à dessein. Je remonte ma main vers mon visage, évaluant le fil de la lame du pouce sans te regarder directement. Tes yeux sont braqués sur le métal poli, ta bouche pincée laisse passer une inspiration sifflante.
« – C’était pas prévu, ça ! » me dis-tu, rompant le silence qui régnait depuis le début de la… cérémonie.
Je pose la lame sur le renflement de ton ventre au dessus de la ceinture de ton slip. Le froid du métal, l’éventualité de la coupure, font que tu essayes de rentrer ton ventre, mais sans succès. La lame remonte, glisse sous la couture de ton débardeur; le tissu se fend sans bruit, témoignant de l’affutage soigné. Je m’efforce de rester impassible tandis que j’ouvre le vêtement de bas en haut. La pointe du couteau est maintenant sous ton menton et tu es obligée de cambrer le dos pour l’éviter. Le tissu glisse de ta poitrine offerte, me dévoilant deux aréoles sombres aux pointes joliment dressées.
Je pose le couteau sur ton ventre et je reprends la bougie; la cire a fondu et ne demande qu’à couler. Tu me regardes avec les yeux écarquillés de crainte mais toujours sans oser parler. Tu fermes les yeux tandis que les gouttes de cire tombent sur ton sein droit. Tu suffoques et tu gémis. Je dessine une spirale qui se referme sur ton mamelon. Ton cri est plus fort et il se prolonge avec le filet de cire qui enrobe la chair sensible. Tu laisses échapper un gémissement rauque et des larmes perlent à tes yeux clos.
J’hésite un instant, un bref instant, et je déplace la bougie vers ton autre sein, directement sur la zone la plus sensible. Ton corps s’arque-boute dans ses liens pour mon plus grand plaisir; j’ai envie de toi, tu es si belle ainsi soumise. Des larmes coulent de tes yeux qui me regardent reposer la bougie. Du bout des doigts, je roule la pointe de ton sein droit pour en détacher la cire durcie. Mon geste est rude et tu grimaces. Je me penche sur toi et j’approche mes lèvres, soufflant doucement. Mon visage remonte vers le tien, ma bouche se pose sur la tienne, tu te soulèves pour répondre à mon baiser, tu me veux, à pleine bouche. Je pince ton mamelon plus fort, ta langue fouille ma bouche, désespérée.
Je me recule un peu et reprends mon couteau en main, glisse la lame sous la ceinture de ta culotte, sur ta hanche. Il me suffit de tirer un peu pour que la lame tranche l’élastique. L’autre coté cède aussi et je tire sur la culotte découpée, dénudant ton pubis épilé. Imperceptiblement, tandis que je le regarde, tes cuisses s’entrouvrent. Un filet de cyprine s’écoule d’entre tes lèvres. Je referme le couteau en le laissant claquer, signifiant que tu es sauve.
Reprenant la bougie, je te la tends, disant: « Souffle ! ». Tu souffles, éteignant la flamme. Je penche la bougie et je descends le long de ton ventre, laissant une trainée de cire liquide. L’extrémité a refroidi lorsque je la passe sur ton pubis, descendant toujours vers tes lèvres qui ont écloses. Tu redresses à nouveau le buste pour regarder la bougie contre ton sexe mouillé. Les mâchoires crispées, les yeux écarquillés, tu m’attends, tu m’appelles. Tu cherches à enfoncer la bougie par des mouvements du bassin, mais je ne fais que la tenir contre toi, caressant tes lèvres sur toute leur longueur.
« Vas-y ! » Tu grognes, gémis, palpites. Quand tu sens que le moment est venu, instinctivement, tu t’ouvres et cambres les reins. J’enfonce la bougie de quelques centimètres, sans effort. Après un moment d’immobilité où je regarde les spasmes de ton bassin, je commence un lent mouvement de va-et-vient, enfonçant chaque fois un peu plus la bougie. Ta respiration s’accélère, ta tête tourne d’un coté et de l’autre tandis que, les yeux clos, tu sens le plaisir monter. Sans hâte, ma main se fait houle, faisant naitre la vague, jusqu’au moment où ton dos fléchit, tu cherches à respirer, et je cesse de bouger. Tu gémis plaintivement, frustrée, à deux doigts de l’orgasme que je t’ai refusé. Encore haletante, tu me regardes, les yeux mouillés:
« Laisse moi jouir ! » Tu observes une pause, où tu te mords les lèvres, puis tu reprends, soumise: « S’il te plait ! »
En longues pénétrations je reprends mes va-et-vient et tu refermes les yeux. En quelques secondes tu as retrouvé le haut de la vague qui déferle en toi. Ton corps entier ondule au rythme de ton plaisir. De ta bouche, grande ouverte pour chercher de l’air, sort une succession de cris rauques. Tes muscles se crispent autour de la bougie que je continue à bouger en toi. Les spasmes se font plus fort, tu refermes tes jambes, les rouvres, ne sachant plus comment accéder à la jouissance. Un liquide transparent jaillit de ton vagin, inondant ma main et tu cries de plus belle.
Lâchant la bougie, je détache tes bracelets de tes chevilles, de tes poignets. Je te prends dans mes bras où tu te loves, presque inerte. Tu lèves ton visage vers moi et je te donne ma bouche. Ce baiser, d’une tendresse exceptionnelle, scelle ta soumission et absout mes tourments.
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Cruelle volupté,remarquable,merci Monsieur de votre pénétrante participation.
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J’ai fait au plus vite… j’espère avoir plus de temps la prochaine fois. Je vais me hâter de recommander cet endroit ceux qui me lisent ! Ensuite, seulement après, je prendrai mon plaisir.
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Ah, ce Fred ! :o))
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